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Le président du CCDH représente le CIC lors des débats sur le réexamen des activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme et met en exergue ses propositions

Le président du CCDH, M.Ahmed Herzenni, en sa qualité de président du réseau africain des institutions nationales de promotion et de protection des droits de l’Homme, a représenté le Comité international de coordination des Institutions Nationales des droits de l’Homme (CIC) lors des travaux du groupe de travail chargé de réexaminer les activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, et ce, du 25 au 29 octobre 2010 à Genève.

Le groupe de travail précité, qui porte officiellement le nom de « groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée chargé de réexaminer les activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme » a été crée suite à la décision du Conseil des droits de l’Homme en date du 12 octobre 2009, et ce, conformément à la résolution de l’Assemblée Générale de 2006 relative à la création du Conseil, qui stipule, dans son paragraphe 16 que le Conseil doit réexaminer ses activités et son fonctionnement cinq ans après sa création.

A cet effet, le CIC a émis, à travers les débats organisés dans le cadre de la révision des activités et du fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme, une série de propositions en vue de renforcer la participation des institutions nationales de droits de l’Homme au sein du CIC et améliorer l’efficacité de la Commission des Droits de l’Homme.
Renforcement de la participation des institutions nationales de droits de l’Homme au sein de la Commission des Droits de l’Homme

Dans ce cadre, le CIC a mis l’accent sur la nécessité de renforcer et de faciliter l’accès des acteurs nationaux au sein du Conseil des Droits de l’Homme, mettant en exergue l’importance de la création du fonds de soutien à la participation des représentants des pays les moins développés, des INDH et des organisations de la société civile aux sessions du Conseil ainsi qu'aux réunions de ses mécanismes. De même et dans l'intérêt d'une meilleure transparence et d’une plus grande accessibilité du Conseil, son programme de travail et ses rapports devraient être rendus publics préalablement aux sessions. Les vidéos des sessions du Conseil et les rapports et autres informations importantes devraient également être mises en ligne dans les six langues officielles des Nations Unies. Un calendrier annuel des résolutions devrait aussi être mis à la disposition de toutes les délégations et parties prenantes, en vue de rendre la négociation des résolutions encore plus prévisible, selon le CIC.

Le CIC a mis l’accent également sur la nécessité de mettre à contribution l’expérience des Institutions nationales à travers la participation de leurs représentants d’une manière régulière aux réunions et aux événements organisés par le Conseil, de maximiser la contribution des INDH aux procédures spéciales en les associant directement au dialogue interactif au sein du Conseil. Le CIC préconise également de maximiser la contribution des INDH à la procédure d'Examen Périodique Universel (PEU), en remettant ses rapports et en bénéficiant d’un temps de parole pour exposer leur point de vue. Il devrait également pouvoir présenter régulièrement des informations mises à jour sur le statut de mise en œuvre des résultats de l'Examen Périodique Universel.

Propositions visant à rendre le Conseil plus efficace.
Le CIC a, par ailleurs, présenté une série de propositions qui visent à rendre le Conseil plus efficace et plus exhaustif en matière de contributions au niveau national. Pour ce faire, il préconise que le travail et les activités du Conseil soient financées du budget général des Nations Unies. Il demande également de protéger les défenseurs des droits de l’Homme à travers la création d’un fonds destiné à soutenir les personnes menacées de représailles pour avoir coopéré avec les mécanismes de l'ONU en matière de droits de l'Homme.

Le CIC appelle également à s'assurer que le Conseil soit en mesure de répondre aux situations d'urgence, à améliorer le suivi des recommandations liées aux Procédures spéciales et à améliorer la procédure de l’Examen périodique universel à travers un engagement clair des Etats à définir clairement ses positions au regard de chaque recommandation de l’EPU au niveau national. Le CIC recommande enfin la création d’un segment consacré au suivi de chaque EPU et invite les Etats à fournir des rapports oraux au regard de la mise en œuvre des recommandations deux ans après leur examen.

Le Comité international de coordination des institutions nationales pour la promotion et la protection des droits de l'Homme (CIC) est l'association internationale des institutions nationales des droits de l'Homme de toutes les régions du globe. Créé en 1993, le CIC promeut et renforce les institutions nationales de droits de l'Homme (INDH) pour être en conformité avec les Principes de Paris, et assure un rôle de leadership dans la promotion et la protection des droits de l'Homme.

Le CIC offre des conseils et une assistance pour aider ses membres (INDH accréditées avec le statut A) à renforcer leur engagement avec les mécanismes internationaux des Nations Unies, afin de renforcer les droits de l'Homme au niveau national. Le CIC entreprend d’accréditer les INDH, et tient une réunion annuelle et une conférence biennale pour renforcer la coopération et le partage des bonnes pratiques entre les institutions nationales.

Il est à rappeler que le CCDH dont le président a représenté le CIC à Genève, a assuré la présidence dudit Comité en 2003 et 2004.

Le président du CCDH, M.Ahmed Herzenni, en sa qualité de président du réseau africain des institutions nationales de promotion et de protection des droits de l’Homme, a représenté le Comité international de coordination des Institutions Nationales des droits de l’Homme (CIC) lors des travaux du groupe de travail chargé de réexaminer les activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, et ce, du 25 au 29 octobre 2010 à Genève.

Le groupe de travail précité, qui porte officiellement le nom de « groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée chargé de réexaminer les activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme » a été crée suite à la décision du Conseil des droits de l’Homme en date du 12 octobre 2009, et ce, conformément à la résolution de l’Assemblée Générale de 2006 relative à la création du Conseil, qui stipule, dans son paragraphe 16 que le Conseil doit réexaminer ses activités et son fonctionnement cinq ans après sa création.

A cet effet, le CIC a émis, à travers les débats organisés dans le cadre de la révision des activités et du fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme, une série de propositions en vue de renforcer la participation des institutions nationales de droits de l’Homme au sein du CIC et améliorer l’efficacité de la Commission des Droits de l’Homme.
Renforcement de la participation des institutions nationales de droits de l’Homme au sein de la Commission des Droits de l’Homme

Dans ce cadre, le CIC a mis l’accent sur la nécessité de renforcer et de faciliter l’accès des acteurs nationaux au sein du Conseil des Droits de l’Homme, mettant en exergue l’importance de la création du fonds de soutien à la participation des représentants des pays les moins développés, des INDH et des organisations de la société civile aux sessions du Conseil ainsi qu'aux réunions de ses mécanismes. De même et dans l'intérêt d'une meilleure transparence et d’une plus grande accessibilité du Conseil, son programme de travail et ses rapports devraient être rendus publics préalablement aux sessions. Les vidéos des sessions du Conseil et les rapports et autres informations importantes devraient également être mises en ligne dans les six langues officielles des Nations Unies. Un calendrier annuel des résolutions devrait aussi être mis à la disposition de toutes les délégations et parties prenantes, en vue de rendre la négociation des résolutions encore plus prévisible, selon le CIC.

Le CIC a mis l’accent également sur la nécessité de mettre à contribution l’expérience des Institutions nationales à travers la participation de leurs représentants d’une manière régulière aux réunions et aux événements organisés par le Conseil, de maximiser la contribution des INDH aux procédures spéciales en les associant directement au dialogue interactif au sein du Conseil. Le CIC préconise également de maximiser la contribution des INDH à la procédure d'Examen Périodique Universel (PEU), en remettant ses rapports et en bénéficiant d’un temps de parole pour exposer leur point de vue. Il devrait également pouvoir présenter régulièrement des informations mises à jour sur le statut de mise en œuvre des résultats de l'Examen Périodique Universel.

Propositions visant à rendre le Conseil plus efficace.
Le CIC a, par ailleurs, présenté une série de propositions qui visent à rendre le Conseil plus efficace et plus exhaustif en matière de contributions au niveau national. Pour ce faire, il préconise que le travail et les activités du Conseil soient financées du budget général des Nations Unies. Il demande également de protéger les défenseurs des droits de l’Homme à travers la création d’un fonds destiné à soutenir les personnes menacées de représailles pour avoir coopéré avec les mécanismes de l'ONU en matière de droits de l'Homme.

Le CIC appelle également à s'assurer que le Conseil soit en mesure de répondre aux situations d'urgence, à améliorer le suivi des recommandations liées aux Procédures spéciales et à améliorer la procédure de l’Examen périodique universel à travers un engagement clair des Etats à définir clairement ses positions au regard de chaque recommandation de l’EPU au niveau national. Le CIC recommande enfin la création d’un segment consacré au suivi de chaque EPU et invite les Etats à fournir des rapports oraux au regard de la mise en œuvre des recommandations deux ans après leur examen.

Le Comité international de coordination des institutions nationales pour la promotion et la protection des droits de l'Homme (CIC) est l'association internationale des institutions nationales des droits de l'Homme de toutes les régions du globe. Créé en 1993, le CIC promeut et renforce les institutions nationales de droits de l'Homme (INDH) pour être en conformité avec les Principes de Paris, et assure un rôle de leadership dans la promotion et la protection des droits de l'Homme.

Le CIC offre des conseils et une assistance pour aider ses membres (INDH accréditées avec le statut A) à renforcer leur engagement avec les mécanismes internationaux des Nations Unies, afin de renforcer les droits de l'Homme au niveau national. Le CIC entreprend d’accréditer les INDH, et tient une réunion annuelle et une conférence biennale pour renforcer la coopération et le partage des bonnes pratiques entre les institutions nationales.

Il est à rappeler que le CCDH dont le président a représenté le CIC à Genève, a assuré la présidence dudit Comité en 2003 et 2004.

Le président du CCDH, M.Ahmed Herzenni, en sa qualité de président du réseau africain des institutions nationales de promotion et de protection des droits de l’Homme, a représenté le Comité international de coordination des Institutions Nationales des droits de l’Homme (CIC) lors des travaux du groupe de travail chargé de réexaminer les activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, et ce, du 25 au 29 octobre 2010 à Genève.

Le groupe de travail précité, qui porte officiellement le nom de « groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée chargé de réexaminer les activités et le fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme » a été crée suite à la décision du Conseil des droits de l’Homme en date du 12 octobre 2009, et ce, conformément à la résolution de l’Assemblée Générale de 2006 relative à la création du Conseil, qui stipule, dans son paragraphe 16 que le Conseil doit réexaminer ses activités et son fonctionnement cinq ans après sa création.

A cet effet, le CIC a émis, à travers les débats organisés dans le cadre de la révision des activités et du fonctionnement du Conseil des Droits de l’Homme, une série de propositions en vue de renforcer la participation des institutions nationales de droits de l’Homme au sein du CIC et améliorer l’efficacité de la Commission des Droits de l’Homme.
Renforcement de la participation des institutions nationales de droits de l’Homme au sein de la Commission des Droits de l’Homme

Dans ce cadre, le CIC a mis l’accent sur la nécessité de renforcer et de faciliter l’accès des acteurs nationaux au sein du Conseil des Droits de l’Homme, mettant en exergue l’importance de la création du fonds de soutien à la participation des représentants des pays les moins développés, des INDH et des organisations de la société civile aux sessions du Conseil ainsi qu'aux réunions de ses mécanismes. De même et dans l'intérêt d'une meilleure transparence et d’une plus grande accessibilité du Conseil, son programme de travail et ses rapports devraient être rendus publics préalablement aux sessions. Les vidéos des sessions du Conseil et les rapports et autres informations importantes devraient également être mises en ligne dans les six langues officielles des Nations Unies. Un calendrier annuel des résolutions devrait aussi être mis à la disposition de toutes les délégations et parties prenantes, en vue de rendre la négociation des résolutions encore plus prévisible, selon le CIC.

Le CIC a mis l’accent également sur la nécessité de mettre à contribution l’expérience des Institutions nationales à travers la participation de leurs représentants d’une manière régulière aux réunions et aux événements organisés par le Conseil, de maximiser la contribution des INDH aux procédures spéciales en les associant directement au dialogue interactif au sein du Conseil. Le CIC préconise également de maximiser la contribution des INDH à la procédure d'Examen Périodique Universel (PEU), en remettant ses rapports et en bénéficiant d’un temps de parole pour exposer leur point de vue. Il devrait également pouvoir présenter régulièrement des informations mises à jour sur le statut de mise en œuvre des résultats de l'Examen Périodique Universel.

Propositions visant à rendre le Conseil plus efficace.
Le CIC a, par ailleurs, présenté une série de propositions qui visent à rendre le Conseil plus efficace et plus exhaustif en matière de contributions au niveau national. Pour ce faire, il préconise que le travail et les activités du Conseil soient financées du budget général des Nations Unies. Il demande également de protéger les défenseurs des droits de l’Homme à travers la création d’un fonds destiné à soutenir les personnes menacées de représailles pour avoir coopéré avec les mécanismes de l'ONU en matière de droits de l'Homme.

Le CIC appelle également à s'assurer que le Conseil soit en mesure de répondre aux situations d'urgence, à améliorer le suivi des recommandations liées aux Procédures spéciales et à améliorer la procédure de l’Examen périodique universel à travers un engagement clair des Etats à définir clairement ses positions au regard de chaque recommandation de l’EPU au niveau national. Le CIC recommande enfin la création d’un segment consacré au suivi de chaque EPU et invite les Etats à fournir des rapports oraux au regard de la mise en œuvre des recommandations deux ans après leur examen.

Le Comité international de coordination des institutions nationales pour la promotion et la protection des droits de l'Homme (CIC) est l'association internationale des institutions nationales des droits de l'Homme de toutes les régions du globe. Créé en 1993, le CIC promeut et renforce les institutions nationales de droits de l'Homme (INDH) pour être en conformité avec les Principes de Paris, et assure un rôle de leadership dans la promotion et la protection des droits de l'Homme.

Le CIC offre des conseils et une assistance pour aider ses membres (INDH accréditées avec le statut A) à renforcer leur engagement avec les mécanismes internationaux des Nations Unies, afin de renforcer les droits de l'Homme au niveau national. Le CIC entreprend d’accréditer les INDH, et tient une réunion annuelle et une conférence biennale pour renforcer la coopération et le partage des bonnes pratiques entre les institutions nationales.

Il est à rappeler que le CCDH dont le président a représenté le CIC à Genève, a assuré la présidence dudit Comité en 2003 et 2004.

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