Vous êtes ici : AccueilRubriquesActivités

PUBLICATIONS À LA UNE

Bulletin d'information

Actualités

28-12-2018

Bilan du suivi de la mise en œuvre des recommandations de l’IER : Le Maroc a (...)

Lire la suite

10-12-2018

Migration : le CNDH, la GANHRI et e RINADH mettent l’accent sur le rôle des INDH (...)

Lire la suite

10-12-2018

Migration : le CNDH, la GANHRI et e RINADH mettent l’accent sur le rôle des INDH (...)

Lire la suite
Lire toutes les actualités
ID rubrique spip: 
56
Français
Étiquettes: 
  • Réduire
  • Agrandir

Une opération de distribution de la version hassanie du Petit prince de Saint-Exupéry en faveur des écoles des trois régions du Sud du Royaume

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et la Fondation Phosboucraâ lancent durant la première semaine du mois de juin 2017 une importante opération de distribution gratuite de la version hassanie du Petit prince de Saint-Exupéry en faveur des établissements scolaires des trois régions du Sud. Traduit et publié à l’initiative de ces deux institutions, et avec l’appui de la Fondation Antoine de Saint Exupery pour la Jeunesse, la version hassanie du chef-d’œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry constitue la 300ème traduction du Petit prince et coïncide avec le 90ème anniversaire du séjour de Saint-Exupéry à Tarfaya (Cap Juby), comme chef d’escale en 1927.

Tarfaya, étape mythique des lignes de l’Aéropostale, avait inspiré, par ses espaces, ses femmes et ses hommes, au célèbre auteur la substance du Petit prince, ainsi que d’autres romans marquants de sa production littéraire internationalement reconnue.

Le CNDH et la Fondation Phosboucraa ambitionnent, à travers ce projet, de promouvoir les droits culturels dans les régions du Sud. Ils souhaitent également valoriser le hassaniya comme une des composantes de l’identité nationale riche et plurielle. 

Les deux institutions placent cette publication dans le cadre d’une vision à long terme de programmation culturelle faisant de l’aventure saharienne de Saint-Exupéry une locomotive de dynamique et d’animation territoriale notamment dans les villes mémoire de l’aéropostale.

Il est à rappeler que le hassaniya, la langue parlée dans l’Ouest saharien, de l’Oued Noun au fleuve Sénégal, est un arabe qui s’est diffusé dans la région à partir du 13ème et 15ème siècles. 

Télécharger le dossier de presse 

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Le CNDH choisi pour représenter l’Afrique au Sous-comité d’accréditation des institutions nationales des droits de l’Homme

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) vient d’intégrer pour un mandat de trois ans le Sous-comité d’accréditation de l’Alliance globale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI), en tant que représentant de l’Afrique. Le CNDH a été présenté à cette fonction suite à un vote au sein du Comité directeur du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (RINADH).  Dans leurs déclarations, toutes les institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) africaines ont explicitement souligné l'expérience du CNDH et loué son engagement pour la promotion des droits de l'Homme en Afrique.

Le  Sous-comité d’accréditation  a notamment pour missions l’examen des demandes d’accréditation ou de ré-accréditation des INDH, en fonction de leur conformité avec les Principes de Paris régissant les INDH, et de faire des recommandations au Bureau de la GANHRI, compétent pour prendre en dernière instance les décisions relatives aux accréditations.

Il a également compétence pour élaborer des observations générales visant à préciser le sens et l’application pratique des Principes de Paris régissant les institutions nationales des droits de l’Homme.

Le SCA est composé de représentants d’INDH des quatre régions formant la GANHRI,  les Amériques, l’Afrique, l’Asie-Pacifique et l’Europe. Il se réunit deux fois par an. Seules les INDH de statut A sont éligibles au SCA.

Pour rappel, le statut A est réservé aux Institutions nationales des droits de l’Homme considérées comme conformes à la Résolution de l’Assemblée générale des Nations unies de 1993 dite des Principes de Paris et reconnues notamment comme pluralistes et indépendantes  du pouvoir exécutif. Il existe actuellement 74 Institutions nationales des droits de l’Homme accréditées de statut A comme le CNDH  et une trentaine de statut B.

Outre cette nouvelle distinction, il est à signaler que le CNDH préside l’Association francophone des Commissions nationale des droits de l’Homme (AFCNDH), ainsi que le groupe de travail de la GANHRI sur les entreprises et les droits de l’Homme. Il est également membre du réseau arabe des institutions nationales des droits de l’Homme et point focal Afrique de la GANHRI dans le processus de négociation du pacte mondial pour des migrations.  

L'Alliance globale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI) a vu le jour en 1993 et a pour mission la promotion des INDH dans le monde entier et constitue une plateforme de dialogue et d’échange et se charge de faciliter le dialogue entre les INDH et les organisations internationales.

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Cérémonie de signature de la Déclaration sur la liberté de la presse dans le monde arabe

M. Driss El Yazami, président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) procédera à la signature de la Déclaration sur la liberté de la presse dans le monde arabe, le mardi 23 mai 2017 à partir de 18h au siège du CNDH.

Cette initiative a été lancée en 2014 par la Fédération internationale des journalistes (FIJ) en collaboration avec plusieurs syndicats, organisations de journalistes arabes et instances partenaires. La Déclaration comporte des principes qui prévoient la consécration de la liberté d’information, de l’indépendance de la presse, du pluralisme et de la diversité dans le secteur de l’information.
Elle prévoit aussi le respect des droits de l’Homme, la consécration de l’égalité entre les journalistes hommes et femmes, la garantie de leur sécurité pendant l’exercice de leur travail.
 

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Session de clôture du cycle de formation en droits de l’Homme organisé au profit des associations des régions de Laâyoune-Sakia Elhamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab

M. Driss El Yazami, président du Conseil national des droits  de l’Homme, présidera le 12 mai 2017 à l’Institut national de formation aux droits de l’Homme (INFDH) à Rabat, la session de clôture du cycle de formation en droits de l’Homme au profit des associations des régions de Laâyoune-Sakia El Hamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab.   

Lancé le 13 mars 2017 par le CNDH, en partenariat avec l’Institut républicain international (IRI) et avec l’appui du Département d'État des États-Unis, ce cycle de formation en droits humains et gouvernance participative a bénéficié à des acteurs de la société civile des régions de Laâyoune-Sakia El Hamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab.

Réparti en quatre sessions (13-17 mars, 3-7 avril, 24-28 avril et 8-12 mai 2017), ce cycle de formation avait pour objectif de renforcer les capacités des participants dans les domaines liés aux droits humains à l’échelle nationale et internationale et de contribuer à l’effectivité des principes de la gouvernance participative, notamment dans le cadre des nouveaux rôles confiés aux associations de la société civile au Maroc.

La formation a bénéficié à un certain nombre de jeunes appartenant à des associations œuvrant dans les domaines des droits des femmes, des enfants, des jeunes et des personnes en situation de handicap.

Récapitulatif :

Activité : Session de clôture du cycle de formation en droits de l’Homme organisé au profit des associations des régions de Laâyoune-Sakia Elhamra et Dakhla-Oued Ed-Dahab

Date et heure : le 12 mai 2017 à partir de 15h

Lieu : l’Institut national de formation aux droits de l’Homme (INFDH), à Douar Al Kora, Yacoub El Mansour à Rabat

Contact : Direction de la Communication (0662762325)

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

« Un si long chemin, Paroles de réfugiés au Maroc » : Remise des bénéfices liés aux droits d’auteur et d’éditeur à l’association Al Karam

            Près d’un an après la publication de l’ouvrage « Un si long chemin, Paroles de réfugiés au Maroc », les différents partenaires de ce projet se retrouveront le 11 mai 2017 à 18h au siège du CNDH pour une remise des bénéfices liés aux droits d’auteur et d’éditeur à l’association Al Karam. Dès la publication de l’ouvrage, il avait été convenu que ces bénéfices  seraient remis à une association oeuvrant en faveur des réfugiés.

            L’association Al Karam agit depuis 1997, date de sa création, en faveur de la protection des enfants en situation précaire et de la promotion de leurs droits inscrits dans la Convention internationale des droits de l’enfant, ratifiée par le Maroc en 1993. L’association a récemment ouvert un centre d’écoute avec une crèche et une classe d’enseignement non formelle pour les enfants de migrants.

            Rappelons que ce livre retrace le portrait de 30 réfugiés au Maroc, originaires de 16 pays, et vise à sensibiliser le public marocain à la situation des réfugiés, à lutter contre les stéréotypes, les stigmatisations et les préjugés à l’égard de ces populations.         Le Maroc héberge aujourd’hui quelque 5000 réfugiés, enregistrés auprès du HCR, qui ont fui les conflits ou les persécutions et qui ont trouvé refuge au Maroc. Le défi posé, dans un pays qui devient aussi pays de destination, est donc celui du « vivre ensemble ». Cette cérémonie se déroulera en présence de M. Driss El Yazami, président du CNDH, de M. Jean-Paul Cavaliéri, représentant du HCR au Maroc, de Mme Karima Mkika, présidente de l’association Al Karam, de M. Abdelkader Retnani, directeur des éditions La croisée des chemins et de M. Jalil Bennani, auteur de l’ouvrage.

            Signalons que le livre est en cours de traduction en langues arabe et allemande.

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Pacte mondial sur les migrations : Rencontre au Niger sur le rôle des institutions nationales africaines des droits de l’Homme

Le Conseil national des droits de l’Homme du Maroc (CNDH) et le Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (RINADH) organisent un événement spécial des INDH sur le thème « Rôle des institutions nationales africaines des droits de l’Homme (INDH) dans le processus de négociations menant à l’adoption du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », et ce le 7 mai 2017, à Niamey  (Niger).

Regroupant plusieurs institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) et acteurs de la société civile, cette rencontre vise à développer la réflexion africaine sur le processus de négociations autour du Pacte mondial sur la migration (Global compact). Elle a comme objectif d’informer sur l’ensemble des processus du Global compact et des enjeux et défis y afférents, de sensibiliser les INDH africaines sur l’importance de la coopération, pour réussir une politique migratoire africaine commune et d’adopter une position africaine commune, contenant les recommandations des INDH africaines dans le respect des droits de l’Homme des migrants et des réfugiés.

Participeront à cet évènement une dizaine d’INDH africaines francophones et anglophones, des organisations de la société civile d’Afrique, des représentants de l’Union africaine et des experts en matière de migration.

Les panels prévus au programme de la rencontre mettront la lumière sur les aspects suivants : « Politique de l’Union africaine au sujet de la migration », « Bonnes pratiques des INDH sur la migration : expérience des INDH et possibilités d’interaction dans le cadre du processus de l’élaboration du Pacte mondial pour les migrations », et « Actions et engagement des organisations de la société civile pour les droits des migrants ».

La séance d’ouverture de la rencontre sera présidée par MM. Mohamed Charef, membre du CNDH, Maroc, Gilbert Sebihogo, Directeur exécutif du RINADH et Salah S. Hammad, Expert en matière des droits de l’Homme au Département des affaires politiques à l’Union Africaine.

Les défis et les enjeux liés à la migration, aux réfugiés et aux déplacements forcés dans le monde sont devenus des urgences pour la communauté internationale et une réalité pour tous. Face à ces crises humanitaires, le sommet tenu au siège des Nations unies à New York a non seulement lancé le processus de négociations devant aboutir en 2018 à l’adoption du Pacte mondial sur la migration  (Déclaration A/RES/71/1 en date du 19 septembre 2016) ; mais il a également permis de reconnaître, de manière unanime, la nécessité d’une approche globale sur les questions liées aux mobilités humaines. A la suite de ce Sommet, il a été décidé d'engager un processus pour l'adoption de deux pactes internationaux distincts : l'un portant sur la migration et l'autre sur les réfugiés. Il a également été convenu par les Etats membres que le Pacte mondial pour « des migrations sûres, ordonnées et régulières » doit être développé selon un processus inclusif de consultations et de négociations impliquant à la fois, les États, les INDH, la société civile, les communautés et les migrants eux-mêmes.

Pour une multitude de raisons, les Institutions nationales des droits de l’Homme (INDH) peuvent jouer un rôle important dans le processus d’élaboration du Pacte mondial. En effet, les INDH sont titulaires d’un mandat de promotion et protection des droits de l’Homme de tous, y compris les migrants, les réfugiés et les déplacés. Etant également des « instances de médiation » entre l’échelle internationale et nationale, elles ont la possibilité de réunir les différents acteurs nationaux afin de les sensibiliser et de les impliquer dans les processus d’élaboration du Pacte mondial sur les migrations. Enfin, Le système onusien leur accorde un rôle essentiel, notamment à travers la résolution 70/163 de l'Assemblée générale, appelant tous les mécanismes et processus des Nations unies à renforcer la participation des INDH à leur travail.

Par ailleurs, le Conseil national des droits de l’Homme du Maroc (CNDH) a été désigné par l’Alliance Globale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI) comme son point focal africain pour le suivi du processus du Global compact, et ce dans le cadre de l’approche l’Alliance visant à soutenir la participation et la contribution des INDH à toutes les étapes de la consultation.

Il convient de rappeler que le CNDH a publié en septembre 2013 les recommandations de son rapport sur l’immigration et l’asile dans lequel il a appelé à l’élaboration et la mise en œuvre d’une véritable politique publique protectrice des droits, basée sur la coopération internationale et intégrant la société civile. Le gouvernement, qui a interagit positivement avec les recommandations du Conseil, a mis en place une nouvelle politique migratoire, basée, conformément aux orientations Royales, sur une approche globale et humaniste, qui prend essence du droit international et de la coopération multilatérale. Les premières étapes de cette politique ont été caractérisées par le lancement de l’opération de régularisation de la situation des immigrés en séjour irrégulier selon des critères dûment établis et l’installation de la commission nationale de suivi et de recours, ainsi que le lancement du processus de réforme juridique régissant la migration , l’asile et la traite des personnes.

Récapitulatif

Activité : Rencontre sur le thème « Pacte mondial sur les migrations : Rencontre sur le rôle des institutions nationales africaines des droits de l’Homme »

Date et heure : le 7 mai 2017 à partir de 9h

Contact : Ghizlane kabbaj (0661987461)

ghikabbaj@gmail.com

Note conceptuelle

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Le CNDH organise une série d’activités de sensibilisation à l’occasion de la journée africaine de la détention provisoire

A l’occasion de la Journée africaine de la détention provisoire, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et ses Commissions régionales organisent le 25 avril 2017, en coopération avec différents partenaires, plusieurs activités en vue de jeter la lumière sur les défis et les problématiques que pose la détention provisoire au sein du système judiciaire marocain.

Ces activités qui se déclineront sous forme de conférences, de tables rondes, d’émissions médiatiques et de visites en prison, visent à contribuer au débat public sur la question de la détention provisoire qui constitue l’un des principaux facteurs de la surpopulation carcérale. En effet, selon la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion, 40% de l’ensemble des détenus sont en détention préventive, ce qui nécessite de déployer davantage d’efforts de la part des différents intervenants afin de lutter contre ce phénomène.

Les activités constituent donc une occasion pour l’ensemble des acteurs concernés pour discuter des principales difficultés et contraintes qui conduisent à un usage excessif de cette mesure pourtant qualifiée d’« exceptionnelle » par le législateur compte tenu de ses incidences sur les droits des personnes en détention préventive en particulier et sur les droits de l’ensemble de la population carcérale en général.      

Cet événement constituera donc une occasion pour débattre des mesures alternatives susceptibles d’atténuer le recours excessif à la détention provisoire de manière à veiller à l’effectivité du principe de la présomption d’innocence et renforcer les garanties pour un procès équitable.

Par ailleurs, certaines organisations de lutte contre la torture dont l’Association pour la  prévention de la torture (APT) ont affirmé que des millions de personnes sont inutilement maintenues en détention provisoire dans le monde, ce qui entraîne des violations des droits humains et ajoute une énorme pression sur les systèmes de justice pénale déjà surchargés. En Afrique, le taux moyen des détenus préventifs s’élève à 34,7% dans le continent africain. Aussi, les coûts directs et indirects pour l'Etat, pour la société et les individus, ainsi que les violations des droits fondamentaux qui découlent de cette surpopulation carcérale font de la réduction de l’usage de la détention provisoire une urgence.

Il convient de noter que la journée africaine de la détention préventive a été adoptée par le Réseau des institutions nationales africaines des droits de l'Homme (RINADH) dans la Déclaration de Yaoundé du 23 Octobre 2015 suite à sa dixième conférence biannuelle tenue sur le thème « Prohibition et prévention de la torture : les succès, les défis, les opportunités et le rôle des INDH".    

La Déclaration de Yaoundé recommande de ‘contribuer à une réduction de l’usage excessif de la détention provisoire, y compris par la promotion des réformes juridiques et des politiques pénales sur : les alternatives à l'incarcération, les interventions para-juridiques, les avocats de garde à des postes de police, et l'évaluation de la détention préventive’.

 Il est à rappeler par ailleurs que le CNDH avait souligné dans son rapport intitulé « La crise des prisons : une responsabilité partagée” publié en 2012 que ‘le recours excessif à la détention provisoire constitue la première cause du surpeuplement’ et a recommandé, ‘d’accélérer les procédures concernant les détenus placés en détention provisoire tant au niveau de l’instruction que du jugement’, de ‘Programmer la construction de prisons spécialement pour les détenus-e-s en détention préventive et ceux condamnés à des peines courtes dans la circonscription de chaque tribunal de première instance’.

 

Télecharger la Déclaration de Yaoundé

Télecharger le document de l'APT sur la détention provisoire et le rôle des INDH

 

 

 

 

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Deuxièmes rencontres du film ethnologique sur le thème « Regarder l’autre »

 

Le Centre Jacques-Berque, l’Université Mohammed V de Rabat et le Centre des études sahariennes (CES) organisent les 25 et 26 avril 2017 à Rabat les Deuxièmes rencontres du film ethnologique sur le thème « Regarder l’autre » au siège du CES à la Faculté des lettres de Rabat (annexe d'Al Irfane).

Cette manifestion vise à initier les étudiants et les chercheurs à l’importance du film ethnologique dans la production du savoir anthropologique. La rencontre souhaite également  rapprocher le public des techniques et méthodologies adoptées dans la réalisation des films ethnologiques.

Les activités des rencontres seront marquées par une conférence introductive donnée par le réalisateur français, Henri Herré.

Ainsi, quatre documentaires seront projetés : Marocains sans terres, de Soraya El Kahlaoui, 34 mètres d’altitude, de Kenza Afsahi, Les chemins de la Baraka, de Manoël Pénicaud et Khamis Mesbah et Sur les chemins des phosphates, de Malika El Manoug et Mohammed Nadrani.

Il convient de rappeler que le Centre des études sahariennes a été créé en février 2013 en partenariat entre l’Université Mohammed V - Rabat, le Conseil national des droits de l’Homme, l’Agence du Sud et l’Office chérifien des phosphates. Il a pour missions de réaliser des recherches pluridisciplinaires dans différents domaines du savoir et d’encourager la recherche au service du développement dans les provinces du sud.

Télécharger le programme 

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Voix de femmes : Rencontre sur la littérature féminine africaine

Dans le cadre des rencontres organisées à l’occasion de l’événement Afrique en Capitale,  le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI) accueille, le 20 avril 2017 à 14h, à l’initiative du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), de l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), de l’Académie du Royaume du Maroc, de la Fondation nationale des musées (FNM) et de l’Université internationale de Rabat (UIR), une rencontre de romancières africaines intitulée « Voix de femmes ».

L’événement Voix de femmes, animé par les écrivains Kebir Mustapha Ammi et Hassan Nejmi, connaît la participation de Scholastique Mukasonga (Rwanda), Leila Abouzeid (Maroc), Rabâa Abdelkefi (Tunisie), Nora Amin (Egypte), Sefi Atta (Nigeria), Khadi Hane (Sénégal ) Latifa Baqa ( Maroc) et Siham Bouhlal (France, Maroc).

En ce XXIème siècle, la littérature africaine apparaît pour l’essentiel comme féminine, avec l’émergence, dans toutes les régions et les langues du continent, de grandes romancières qui portent à la fois les aspirations des femmes et des peuples.

Cet évènement rassemble un groupe de romancières anglophones, arabophones et francophones, pour des discussions à deux ou à plusieurs et des lectures. L’événement est une occasion de rencontrer des grands noms de la littérature féminine du continent pour des débats rythmés de partage qui permettraient au public de projeter un nouveau regard sur les œuvres des romancières de nationalités différentes et de s’immerger dans leurs univers respectifs.

 

Télécharger le catalogue de la rencontre 

Haut de page
  • Réduire
  • Agrandir

Colloque international à Rabat sur le thème "l’Afrique en mouvement : migrations, diasporas et mobilités"

Dans le cadre de l’événement « Afrique en Capitale », coordonné par la Fondation nationale des musées (FNM), le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), l’Université internationale de Rabat (UIR), l’Académie du Royaume du Maroc, l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) et le Musée Mohammed VI d’art moderne & contemporain (MMVI) organisent toute la journée du jeudi 13 avril à l’auditorium du MMVI à Rabat un colloque sur le thème «L’Afrique en mouvement : migrations, diasporas et mobilités ».

Rassemblant des anthropologues, des politologues et des sociologues spécialistes des migrations du Maroc, du Sénégal, du Burkina Faso, du Rwanda, de France et du Royaume-Uni, ce séminaire entend faire le point sur les principales mutations des migrations africaines.

Appréhendées le plus souvent sous le seul angle de la sécurité et présentées comme une menace permanente vis-à-vis des pays du Nord, les migrations africaines sont d’abord et surtout intra-africaines : près de sept migrants africains sur dix s’installent dans un autre pays du continent. Plongeant leurs racines dans l’histoire, ces migrations connaissent aussi de profondes mutations. Ainsi, des régions entières dont le Maghreb sont devenues ces dernières décennies de véritables carrefours migratoires, où convergent plusieurs mouvements de population et des mobilités de plus en plus diversifiées (étudiants, demandeurs d’asile, migrants économiques, etc.).  De près en près, les pays africains sont tout à la fois des pays d’émigration, de transit et d’installation durables, transformés par l’apport de nouveaux concitoyens et des relations multiples entretenus par les compatriotes expatriés.

Le colloque, qui se tient de 9h30 à 18h sera ouvert par M.  Abdelkrim Benatiq, Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, chargé des Marocains Résidant à l’Etranger et des Affaires de la Migration, M. Driss El Yazami, Président du CNDH, M. Abdeljalil Lahjomri, Secrétaire perpétuel de l’Académie du Royaume du Maroc, M. Noureddine Mouaddib, Président de l’UIR et l’Ambassadeur Mohamed Methqal, Directeur Général de l’AMCI. 

Télécharger le programme du colloque 

 

 

Contact Presse :

Yosra Benabbou

Yosra.benabbou@uir.ac.ma

06 60 75 76 32

Abdelghani Berdi

a.berdi@cndh.org.ma

06 62 76 23 25

Haut de page

Pages